Chaque mois je rédige un article de fond pour vous présenter mon travail.
Pendant le mois d’avril 2024, je propose à une vingtaine de personnes de devenir mes collectionneur.ses en achetant une ou plusieurs oeuvres parmis une sélection restreinte encadrée avec soin.
Dans cet article, je raconte mon expérience avec Le Cercle de l'Art.
En deux ans j'ai animé la performance collaborative en hommage à Alice Milliat (fondatrice des premiers Jeux Olympiques féminins en France) avec 500 personnes. Mon objectif en 2024 est de doubler ce nombre, voici ma stratégie :
Dans cet article, je raconte la création de ma dernière fresque murale en hommage à Suzanne Valadon.
Dans cet article, je vous raconte ma rencontre art et sport avec Asma Assoumane joueuse de rugby dans l'équipe féminine du Stade Français Paris.
Rencontre avec Coralie Brot, fleurettiste membre du Collectif France dans le cadre de Pentamonde : un projet d'art contemporain.
Quand je ne suis pas sur une échelle à réaliser un mural, je suis dans mon atelier à peindre des tableaux d'art abstrait.
Associer RSE et ART semble naturel. Mais méfions-nous des appropriations qui ne veulent rien dire. Pour savoir si certaines prestations artistiques peuvent VRAIMENT être considérées comme faisant partie d’une démarche RSE, j’ai posé la question à une spécialiste : Anne-Laure Noël.
En novembre 2022 j'ai crée mon 2ème « atelier-histoire » en hommage aux femmes qui ont marqué l'histoire du Sport. Il est dédié à Nadia Comaneci. Vous souvenez-vous d'elle ?
Ce sont les grands thèmes qui traversent ma vie : l'art (dessin, peinture, sculpture, écriture, théâtre), la médiation, l'artprenariat, le féminisme, l'empouvoirement personnel, l'équilibre, les émotions.
Je suis attirée par tout ce qui est atypique, pointu, différent.
Je m'intéresse au sport parce que c'est un terrain où le loisir rencontre l'excellence. C'est un terrain façonné par le masculin. C'est un terrain où la société m'a implicitement dit de ne pas aller (comme en art). C'est un observatoire de l'égalité femme-homme. C'est un terrain de lutte.
Mes observations, mes récits n'engagent que moi. J'essaye de faire de mon mieux pour créer des passerelles entre l'art et la société. Pour générer un modèle économique à mon activité également. Mon travail n'est pas exclusivement tourné vers les galeries. J'aime créer des oeuvres (peintures, sculptures) et les commercialiser mais je ne veux pas que ce soit l'unique aspect de mon travail.
C'est pourquoi j'ai développé des ateliers participatifs. Je les fais évoluer au fil de mes rencontres.
Je m'adapte aux publics que j'ai la chance de côtoyer : enfants, centre de loisirs, adultes, entreprises, privés.
En marketing, on apprends à cibler, à restreindre.
Je m'efforce d'avoir le discours le plus clair possible mais me refuse à orienter mon travail artistique en fonction des « besoins » de mes clients.
Je crée à partir de mes besoins.
Je discute avec vous pour connaître notre zone de rencontre.
Je teste et j'affine.
Je vis.